Un rendez vous au Clair de lune. (Rp entre Hell et Dio)

Serviteur d'Ankavôs Messages : 326 Date d'inscription : 22/01/2011

Cette histoire commence liée à une autre et en sera une différente qui suivra plus tard. Vous n'avez rien compris? Il en est de même pour nous. Parfois une chose peut se déclencher sans même que nous l'ayons calculer. C'est cette circonstance qui amena Dio à se dévoiler, à ouvrir une partie en lui qu'il préservait à l’égard de toute celle qu'il côtoyait. Trêve de bavardage et commençons...

Chapitre 1 : Pour toi ma démone.

Dio voguant comme toujours de part et d'autres des terres argentées était en quête d'un filtre d'amour, non pas pour lui même, il n'avait que faire de ceci mais pour la récompense qu'il octroyait. Une chose divine, avide d'aventure il s'était lancé tête baissée dans ce périple qui allait le conduire dans une toute autre direction.

Un soir en rentrant d'une chasse, il alla s’installer dans ses quartiers. Il se mit à son chevet, devant une belle feuille blanche suivi d'une plume et d'un pot d'ancre. Il ne prit la direction de l'écriture que plus tard. Il se balançait sur sa chaise tentant de penser à cette quête mais rien ne venait. Il avait une autre idée en tête. Quelque chose en lui le titillait. Une forte émotion qu'il trainait depuis bien longtemps faisait surface de plus en plus.

Et si j'utilisais le filtre sur ... Non! se serait une belle bêtise

Il regarda son bout de papier et se mit à écrire :

"Pour toi ma démone...

Beau est le ciel mal est l'enfer

A ces mots je n'y crois pas car l'enfer et la beauté noir, le côté sombre de chaque personne, pourquoi vouloir suivre une tout autre voix quand on se rend compte quand ce lieu une parfaite harmonie y règne.

Je t'ai trouvé mais je n'ai pas su m'exprimer...

Devant tes yeux dévorant, ton âme flamboyante, je me suis éteint tel une bougie se faisant caresser par une petite bise de vent, tu m'as intrigué, dévoré, je suis resté là, seul devant toi, te cachant la vérité, imbécile que j'étais, par une fois je t'ai laissé partir, je ne le ferai plus.

Mon âme est souillé de victimes, jamais je n'aurai souhaité aller vers le ciel car ce n'est pas ma place.

J'ai combattu des milliers d'hommes et de monstres, mon cœur aussi dur de la pierre soit-il n'arrive pas à te combattre et a t'oublier, je garde en moi cette image, cette image qui me hante et qui me fait chaviré et à la fois que j'aime, la tienne.

Au moins une fois j'aimerais te revoir, te parler, et te dire que mon âme voguant jusqu'à présent et prête à s'ouvrir à toi pour l'éternité.

C'est lors de la prochaine pleine lune que j'aimerai te rencontrer de nouveau, rejoins moi au volcan de boudok, là où les phénix royaux règne, je t'attendrai...

Dio signa de son nom la bas de la page, il ferma la feuille et plaça son sceau, il appela son oiseau voyageur et envoya la missive.

Il ne savait vraiment ou cela le mènerai mais il se devait de franchir le pas.

Apprenti d'Ankavôs Messages : 66 Date d'inscription : 02/09/2011

J’avais passé des journées à chasser des monstres d’une couleur argentée, belle à vous hypnotiser. Ils m’obnubilaient, j’en perdais même le sommeil. A chacune de leurs traces que je croisais, je prolongeais ma quête, jusqu’à trouver une nouvelle preuve de leur passage. Et, lorsque j’en voyais un, j’entrais dans un combat sans merci. Pauvre bête, il n’avait que peu de chance, face à mes sorts et mes armes.

Il m’avait fallu presqu’un électrochoc pour me sortir de cette léthargie oppressante. Et, effectivement, quel choc ! Un piaf s’était approché de moi, frigorifié par ces terres glacées. Il était mal en point, je ne savais qui était son expéditeur, mais il n’avait pas l’air très soigneux. Je le laissais se réchauffer près du feu, lui donnant quelques grains pour se sustenter. Il n’en aurait surement pas d’autres avant de longs jours.

Avant même de lire le message, je regardais en bas du parchemin pour en déchiffrer la signature. Dio. A cette lecture, je sentis un sourire se dessiner sur mon visage. Voilà longtemps que je n’avais pas souri. Mon environnement actuel ne prêtait pas réellement à la joie. Je laissais mes doigts caresser le papier afin de le dérouler, et me penchais plus profondément dans la lecture des mots.

Dio avait une écriture un peu précipitée, pas tout le temps évidente à déchiffrer. Et une fois que les mots m’étaient compris, il m’avait fallu de longues minutes pour en comprendre le sens. Ce ton était si peu habituel de Dio que la surprise grandissait à chaque phrase que je finissais.

Il avait été celui qui m’avait le mieux accueilli, au sein de la Nécrôpole. Il m’avait même proposé son lit, à plusieurs reprises. Un matelas à eau, dont je profitais largement dès que je rentrais parmi les miens. Y voyait-il une invitation ? Ou était-ce moi qui, par ma naïveté et ma méconnaissance des désirs des hommes, lui avait laissé espérer quelque chose ?

Je ne savais trop, mais il me fallait parler avec lui, lui faire comprendre que seul Ankavôs pouvait compter sur moi.

Je griffonnais donc assez rapidement une réponse. Je n’étais pas douée pour la rédaction, je préférais avoir mon interlocuteur en face, et tout lui expliquer. Je serais là, sur le volcan de Boudok, à la prochaine pleine lune, à contempler les phoenix.

Apprenti d'Ankavôs Messages : 66 Date d'inscription : 02/09/2011

Quelques jours plus tard...

J’observais le ciel. Le soleil commençait à se coucher, il me fallait maintenant aller sur Boudok. J’appréhendais les heures à venir, je ne savais pas trop comment réagir devant le face à face qui m’attendait. Pourtant, Dio ne me faisait pas peur, au contraire. Il avait toujours été une présence rassurante, pour moi, toujours présent, toujours disponible… Je me rendais compte, peut-être avec beaucoup de retard, qu’il avait toujours été comme un soutien.

Pourtant, au premier abord, il n’était pas des plus apaisants. Les yeux toujours masqués par ses verres rouges, lui donnant un regard inquiétant, une cigarette souvent aux lèvres, ou un cigare, selon son envie du jour, mais toujours ce nuage de fumée qui l’entourait. Ce qui surprenait le plus, à la première vision, c’était ses blessures qu’il avait régulièrement, trophées de ses combats à mort. Il m’avait fallu quelques temps pour m’y habituer, mais maintenant, je m’amusais à dénicher les nouvelles plaies au sein des autres, m’étonnant chaque fois sur sa surprenante faculté de guérison.

Bref, je devais voir Dio. J’étais prête, les phœnix étaient là, et je l’attendais. Après sa lettre, je ne savais pas trop comment réagir. Un sourire, suivi d’un long silence gêné ? Surtout pas ! Quoi qu’il se passe, quoi qu’on se dise, je savais qu’il serait toujours Dio, l’homme que j’appréciais tant, et sans qui les Hôstiles ne seraient pas aussi accueillants.

Serviteur d'Ankavôs Messages : 326 Date d'inscription : 22/01/2011

Chapitre 2 : En route vers Boudok.

Le soir précédent le rendez vous...

Dio regarda fixement la lune, voilà bien longtemps qu'il ne l'avait fait, à chaque fois que son regard la croisé il se mettait subitement à rêvasser. Dans sa main, la lettre que Hell lui avait envoyé. Il la relit tranquillement. Un petit sourire prit place. Il ne savait réellement ou cela allé le mener, mais il sentait au plus profond de lui qu'il se devait de le faire. Son philtre d'amour il l'avait jeté au oubliette, que faire d'une foutaise pareil.

Hell le connaissait, presque le devinait, il se souvint encore le jour ou elle postula chez la famille Hôstile, ce ne fut point de tout repos. Il était arrivé dans un piteuse état, faible, meurtri, un premier interrogatoire fort intéressant qui avait obligé Dio à partir dans ses quartiers. Elle l'avait touché. Il avait voulu paraître fier devant elle mais son état l'avait fait flanché à un tel point que Hell le soigna. Pourtant, après plusieurs jours d'attente dans l'antichambre, elle e ne se plaignit pas, les joues creusées, une mine faisant peine à voir certainement à bout de force. Elle avait préfère soigner un inconnu plutôt que sa propre âme.

En pleine réflexion un battement d'aile réveilla Dio de son état de léthargie, un prince dragon divin plongea en pointe vers Dio :

« Rrrrrr... bestiau de malheur, va en enfer !»

Il se leva dos à la bête, il patienta quelques seconde puis d'un geste vif, fit une rotation à 180 ° qui taillada le monstre en deux. Le dragon s'écroula d'un bruit sourd. Voilà ou son entraînement l'avait mené. Il acquit une puissance hors norme, mais hélas plus aucun monstre ne pouvait le blesser. Le risque, le frisson tout ça c'était dissipés. Las, il était tant pour lui de se ranger. Il était tant pour lui de rencontrer une femme qui pourrait l'accompagner jusqu'à sa mort.

Peut être l'âge rentrait en compte, il savait au plus profond de lui que son épopée lui avait permis de fuir les femmes mais à quoi bon. Depuis la première fois qu'il vit Hell à la nécrôpole, il avait succombé, peut être son regard de braise ou ses yeux envouteurs. N'étant pas fin poète, Dio ne savait réellement que dire lors de son rendez qui approché à grand pas. Il but une bouteille de jack et se laissa porter par son sommeil.

Le lendemain au aurore il rentra à la nécrôpole et prit une douche, mais une petite, il fallait pas trop en faire non plus autrement ça paraîtrait louche et tous ses proches de la nécrôpole aurait eu un doute. Une fois sortit de la douche il descendit dans la grande salle au moment où il s'alluma un cigare, Zelgadis arriva en fanfaronan

« Dio il a prit une douche.. »

Après une longue engueulade des deux, Dio s'habilla tout de noir. Il alla en ville faire quelques emplettes, il prit soin de prendre quelques bouteilles de Jack au cas où.

Le moment tant attendu arriva. A dos de son cheval renaissance il partit en direction des montagnes de Boudok. Enfin il en arriva au sommet à sa plus grande stupeur Hell était déjà présente. Un sentiment le parcouru, ce n'était pas de la peur mais une excitation, son cœur battait à grande vitesse. Il descendit de son cheval, puis partit en direction de Hell il lui sourit puis d'un geste maladroit lui donna une tape sur l'épaule.

« Voilà déjà une bourde qu'elle cruche »pensa t'il.

L'échange n'allait pas être facile, car voilà une chose que Dio ne maîtrisé pas.

Il toussa pour éclaircir son timbre :

« As tu fais bonne route? Que dirais tu de boire un peu de jack pour changer?, il fait soif là quand même »

Il montra à un Hell un rocher et sortit une bouteille de sa besace.

Apprenti d'Ankavôs Messages : 66 Date d'inscription : 02/09/2011

Le soleil n’était pas encore tout à fait couché quand il apparut. Il s’approcha et me mit une tape sur l’épaule. Etrange façon de me saluer, mais je lui souris. Il s’éloigna de quelques pas et entama la conversation. A peine eut-il dit les premières paroles que je m’approchais de lui et déposais une bise sur sa joue. Reculant d’un pas, je lui dis.

Bonsoir, Dio

Je lui souris de plus belle, il semblait tellement mal à l’aise ! Oh, c’est sur, moi, je fanfaronnais, mais c’était pour mieux masquer ma propre appréhension. Il s’était vêtu de noir, des pieds à la tête, contrastant avec mes couleurs rouge sombre. Je continuais d’observer sa physionomie. Quelques épis parsemaient sa chevelure, et je fis un pas pour les remettre en place. Je sentais sa respiration sur mon cou, tandis que je réorganisais tout ça. Son souffle semblait s’accélérer, et je fis le maximum pour contrôler le mien, peu habituée à une telle proximité.

Désolée, quelques mèches rebelles… Tu t’es encore embrouillé avec ton frère, toi !

Sans même attendre la réponse, je m’éloignais de lui. Tandis que sur Arkôs, l’odeur de cigare m’était écœurante, chez Dio, elle était agréable, presque enivrante, plus sucrée, moins agressive. Je ne voulais pas laisser paraitre mon émoi et me retournais, fouillant dans mon sac. J’y dénichai une longue cape, épaisse. La nuit était maintenant totale, et il commençait à faire plus frais. Ma tenue n’était pas adaptée pour les grands froids. Jambes et épaules nues, elle était idéale pour Sato, où ma peau avait pris une couleur dorée, mais sur des contrées au climat plus tempéré, il me fallait souvent me couvrir.

Je crois qu’une gorgée de ton breuvage m’aidera à me réchauffer, peut-être mieux que cette cape.

Je passais tout de même la lourde étoffe sur mes épaules et la nouai sous ma gorge, assez lâche pour qu’elle ne m’étrangle pas. Elle me tombait jusqu’au pied, et recouvrait l’ensemble de mon corps, ne laissant plus rien deviner de ma silhouette. Jamais je ne mettais le capuchon. Je n’étais pas de ces ombres qui se voilent le visage.

J’avançais vers le rocher que Dio m’avait présenté d’un mouvement de tête. Je m’y assis, étendant mes jambes fatiguées par le voyage. Je le regardais, il était resté debout, à quelques pas de moi. Je me décalais, lui laissant la place de s’assoir. Peut-être n’osait-il pas ?

As-tu pris des verres, ou devons-nous boire à même la bouteille ?

Serviteur d'Ankavôs Messages : 326 Date d'inscription : 22/01/2011

Chapitre 3 : Au clair de lune.

Ce soir là le soleil couchant avait aidé Dio. Après une tape maladroite de sa part, Hell lui avait déposé un bisou sur sa joue. Son teint de peau avait viré de plusieurs couleurs pour finir en une seul et même, rouge vif. Il avait la gorge noué.

Hum!

Dio avala sa salive pour s'éclaircir la voie. Devant lui cette femme qu'il adorait tant. Elle était somptueusement vêtu, une magnifique tunique rouge qui se mariée à sa chevelure coiffé impeccablement, contrairement à la sienne. Elle eu la délicatesse de recoiffer les quelques mèches qui se baladaient sur la tête de Dio.

L'homme était surpris par ces actions, peu habitué il se sentait perdu et ne savait comment réagir. Il se dit que la meilleur solution serait de rester naturel, de faire comme à chaque fois et d'oublier pendant un temps la raison de ce rendez vous.

La nuit était tombé. Hell assise sur le rocher que Dio lui avait montré, frissonné, il fallait dire qu'en pleine montagne le temps n'était pas vraiment ressemblant à celui des terres arides. Elle enfila une cape pour couvrir son corps puis, quelques minutes plus tard elle le questionna sur la bouteille de Jack et ses contenants.

Ah! oui, le Jack, attends moi une seconde je vais la prendre dans ma besace.

Dio vraiment chamboulé en avait oublié l'essentiel, le Jack, heureusement son sac n'était pas loin, il marcha quelques pas

Je revvvv...!

Il venait de se prendre un caillou et trébucher par la même occasion.

Hum!

Mine de rien, il se releva et alla s'emparer de la bouteille de Jack et revint sur ses pas. Il prit place au côté de Hell sur le rocher. Il enleva le bouchon de la bouteille, à ce moment là il vit qu'il s'était écorché la main. Il la cacha.

J'ai toujours bu à la bouteille, je trouve ça plus conviviale et festif puis y a pas de glaçons, j'espère que ça ne te dérange pas?.

Il aurait peut être du prendre des verres, mais Hell est tout comme lui un membre de la famille Hôstile et sait apprécier le Jack dans n'importe qu'elle circonstance, enfin du moins il le pensait.

Il lui tendit la bouteille encore pleine

Peut être que ceci te réchauffera un peu plus?

Il se colla un peu plus vers Hell afin que leurs deux corps se touchent. Il n'osait la prendre autour de ses bras pour la réchauffer alors il se dit qu'en se rapprochant leurs chaleur corporel l'aiderait à se sentir mieux.

La lune n'est -elle pas magnifique? C'est ici que je me retrouve quand je veux m'évader, c'est la première fois que je fais partager cette endroit à une personne.

Dio regarda les yeux de Hell avec passion, ses actions étaient traître, il avait du mal à camoufler ses sentiments. Le Jack n'était pas une mauvaise idée en soi car cela allait certainement l'aider à surmonter sa légère timidité. Mais pour une fois depuis très longtemps il sentait bien, apaisé assis au côté d'une femme qui le passionnée.

Il faut encore attendre. Pensa t-il

Apprenti d'Ankavôs Messages : 66 Date d'inscription : 02/09/2011

Dio me présentait la bouteille. Elle était encore fraiche, entre mes doigts. Il l’avait ouverte, et son arôme commençait à envahir l’air. Après sa chute, il s’était assis à coté de moi. Je m’étais abstenue de tout commentaire, de peur de le vexer, mais j’avais pouffé doucement. Lorsqu’il me rejoignit, je le regardais fixement. Mon regard semblait le déranger, mais j’aimais rester ainsi, les yeux posés sur lui.

Peu à peu, il s’était rapproché, jusqu’à me toucher, semblant toujours autant douter de lui. Je repoussais ma cape, afin de me dévoiler en partie, puis me décalais quelque peu, pour me blottir contre lui. Je préférais son contact à celui de la laine rêche de ma protection.

Si tu permets…

Sans même attendre sa réponse, je redirigeais mon regard vers la bouteille. Je pris une gorgée rapide, à même le goulot. Le liquide ambré était puissant, et je le sentais me traverser, atteignant mon estomac dans une douce brulure. Je réprimais une grimace puis lui souris.

Eh bien, voilà une bonne bouteille !

Après une nouvelle gorgée, je lui tendis le contenant. Mes doigts s’étaient refroidis au contact de ce liquide qui restait d’une grande fraicheur.

Mais je ne saurais la finir seule. Si tu veux bien m’accompagner..

Je glissais mes mains entre mes cuisses pour pouvoir me les réchauffer, et me blottis un peu plus contre lui. J’observais ce lieu, qui ne m’était pas vraiment familier. Les rayons de lune tombaient sur le cratère du volcan, dévoilant un paysage d’une beauté étrange, accidenté, violent, dangereux, mais aussi sauvage, hypnotique.

Je ris toute seule, doucement, faisant mon maximum pour qu’il ne s’en aperçoive pas. Je tournais mon visage vers lui. Finalement, cet endroit lui ressemblait beaucoup. Un peu rustre au premier abord, une fois qu’on le connaissait, il devenait rapidement envoutant. Vérifiant que mes mains s’étaient réchauffées, j’en approchais une de son visage et, déposant une caresse sur sa joue, lui dis.

Merci de m’avoir demandé de venir ici… J’ai un peu l’impression de violer ton intimité, à être comme ça, dans ton antre, dans ton domaine. J’espère tant pouvoir, un jour, te rendre la pareille…

» Une âme parmi vous